Les problèmes physiques

                     

LES COURBATURES

a) Description
Les courbatures sont des signes de la fatigue des muscles. Elles apparaissent après l’effort, quelques heures après, le lendemain ou même deux jours après. La douleur n’est pas très précise, et on apprend à la reconnaître avec la pratique. Le muscle est comme « coloré » par la douleur, laquelle n’est en général pas insupportable et rend juste les mouvements un peu gauches. On sent le douleur en faisant des mouvements, même légers, qui étire le muscle. Plus la courbature est importante, plus le muscle est sensible aux mouvements.

b) Comment soigner une courbature ?
Une courbature ne se soigne pas. Comme la crampe, elle disparaît toute seule avec le temps, au bout de un ou deux jours. Pour favoriser sa disparition, il faut bien s’alimenter, boire suffisamment, s’étirer doucement, et éventuellement faire du sport légèrement, sans forcer. Les personnes qui pratiquent le sport régulièrement en font souvent alors qu’ils ont encore des courbatures. C’est possible, et cela n’entraîne pas de dommages pour le muscle.

LES CRAMPES

a) Description
La crampe est une forte contraction d’un ou de plusieurs muscles. Elle apparaît pendant l’effort, plus ou moins progressivement, parfois après un seul effort violent. La douleur est forte, et lorsque la crampe est importante, le muscle paraît comme bloqué en position contractée, ce qui est non seulement très douloureux mais aussi très gênant. Une crampe ne dure pas longtemps, en général la sensation de blocage dure rarement plus de quelques secondes, et le douleur s’estompe au bout de quelques minutes (à condition de s’être arrêté). Il arrive que la douleur, sous la forme d’un point dure plusieurs heures, voire un ou deux jours, mais le plus souvent il suffit de reprendre une activité sportive normale pour qu’elle disparaisse.

b) Que faire dans l’immédiat ?
Si vous avez les moyens de faire une pause de quelques minutes, en buvant et avec des étirements (sans forcer) et du footing lent, cela peut suffire à remettre le muscle en ordre de marche pour un peu plus longtemps. Sinon, il faut prendre du repos, boire, s’alimenter. La crampe disparaît toute seule, sans traitement, et ne laisse pas de traces.

c) Pourquoi les crampes ?
Souvent, on dit qu’il faut boire pour éviter les crampes. C’est vrai mais souvent insuffisant. Plusieurs causes pour les crampes : la fatigue (lorsqu’on manque d’entraînement), un mouvement répétitif, un mauvais mouvement (peut-être dû à du mauvais matériel), ne pas assez boire, manger trop de viande (notamment viandes rouges et charcuterie), ne pas assez s’étirer, être tendu. Il est difficile de prévenir les crampes.

LA CONTRACTURE

La contracture, comme son nom l’indique, est un muscle qui reste contracté.

Il existe deux types de contracture :

1. Contracture primitive : simplement un muscle anormalement contracté en période de repos.
2. Contracture secondaire : associée avec un autre problème musculaire (élongation, claquage, déchirure, rupture) ou une irritation de l’articulation avoisinante.

Comment savoir s’il s’agit d’une contracture ?
Une contracture ressemble à une crampe située à un endroit très précis, comme une petite boule dans le muscle. La douleur n’est en général pas très forte, et elle apparaît progressivement : d’un coup, on remarque que l’on a une douleur sans savoir d’où elle vient ni depuis combien de temps elle est là. La contracture peut être visible : une bosse, un muscle plus gros qu’habituellement, un peu enflé. En touchant, on peut sentir que c’est dur.

Comment soigner une contracture ?
Lorsqu’il s’agit d’une contracture primitive, il suffit de prendre du repos, quelques jours pour que le muscle se décontracte. Lorsque la contracture accompagne un autre problème musculaire, il faut soigner cet autre problème pour que la contracture disparaisse.

Comment prévenir une contracture ?
Il faut éviter de malmener les muscles : pas d’effort trop important, bien étirer les muscles après l’effort, boire suffisamment.

LA TENDINITE

a) Définition
Une tendinite est l’inflammation d’un tendon. Le tendon est un tissu fibreux. Il fait la liaison entre le muscle et l’os, et joue donc un rôle crucial dans la transmission de la force et la mise en mouvement des articulations. Le tendon est le relais de la puissance musculaire.

b) Symptômes
Les symptômes d’une tendinite sont clairs et facilitent le diagnostic. La sensation est celle d’avoir un élastique sur le point de se rompre, ou d’élancements douloureux. C’est une sorte de raideur. Quand il s’agit du tendon d’Achille, la douleur est située entre le talon et le mollet, verticalement. Pour une tendinite de l’épaule, la douleur se répand jusque dans le bras et l’avant-bras. La tendinite du poignet provoque une douleur qui est atténuée par la flexion des doigts. La tendinite des adducteurs est généralement liée à une pubalgie. Dans le cas de la tendinite, la douleur augmente avec la pratique du sport. Si on continue à courir avec une tendinite au tendon d’Achille, la douleur va augmenter progressivement jusqu’à devenir insupportable. Et en continuant quand même, en ignorant la douleur, on peut aller jusqu’à la rupture du tendon d’Achille ou de n’importe quel autre tendon endommagé. Et quand il y a rupture, soigner la blessure est plus long.

c) Traitement

Le repos, pris au bon moment, permet de se soigner assez vite (de quelques jours à une ou deux semaines au pire). Bien sûr, il ne s’agit pas de s’arrêter à la plus petite douleur. Tous les sportifs savent qu’à la reprise de l’entraînement ou lorsque la charge d’entraînement augmente, des petites (plus ou moins, des courbatures peuvent être vraiment douloureuses) douleurs apparaissent, pour la plupart sans gravité. Il faut attendre, dans le cas de la tendinite, que la douleur paraisse installée, ou que ça commence à « coincer ». La tendinite étant souvent provoquée par des mouvements répétitifs, il suffit parfois simplement de changer ses habitudes, d’éviter de faire les gestes responsables de la douleur pour que la tendinite disparaisse d’elle-même. Attention cependant à ne pas faire de mauvais mouvements pour compenser, car un nouveau déséquilibre créerait de nouvelles blessures. Il existe également des pommades, pour faire disparaître la douleur plus vite.

d) Prévention

Il semble difficile de supprimer les mouvements répétitifs lorsque l’on est un sportif : pour un footballeur ou un rugbyman, courir est un geste répétitif qu’il est impossible d’éviter. Alors, il faut essayer d’éviter des terrains trop durs, courir plutôt dans l’herbe que sur le goudron par exemple. Il vaut mieux utiliser des chaussures appropriées : changer vos chaussures à crampons contre des tennis pour aller courir est une question de bon sens. Surtout, ce qui permet d’éviter les tendinites, c’est la souplesse. La souplesse s’acquiert sur la longueur. Il faut s’étirer régulièrement, progressivement. Enfin, pensez également boire suffisamment d’eau, pas seulement lorsqu’il fait chaud.

LA RUPTURE MUSCULAIRE

La rupture musculaire, comme son nom l’indique, est une déchirure plus importante que le claquage : plusieurs faisceaux (ensembles) de fibres musculaires ou même toutes sont rompues.

Comment savoir s’il s’agit d’une rupture ?

La rupture musculaire étant comme un gros claquage, les symptômes en sont les mêmes mais plus accentués.

Comment soigner une rupture ?
De la même façon qu’un claquage. Il peut parfois y avoir besoin d’une intervention chirurgicale.

Comment prévenir la rupture musculaire ?
Comme tous les problèmes musculaires, la rupture peut être évitée (ou au moins son risque fortement diminué) en suivant les principes de base de tout sportif qui se respecte : bon échauffement, étirements, boire (et manger) suffisamment.

LE CLAQUAGE

Le claquage est une déchirure musculaire avec saignement à l’endroit du claquage. Un muscle est composé de fibres musculaires. Lorsqu’il y a claquage, un certain nombre de ces fibres sont coupées. On distingue parfois la déchirure du claquage, car la déchirure peut arriver après un coup.

Comment savoir s’il s’agit d’un claquage ?

Si vous voyez un sportif s’arrêter brusquement dans son effort, en se tenant un endroit précis comme s’il venait de recevoir une balle ou un coup de couteau, c’est qu’il vient sûrement de se claquer. Le claquage est brutal : la douleur est forte, arrive d’un coup, et toujours en plein effort. Sur le moment, la douleur est localisée très précisément ; ensuite, tout le muscle devient douloureux. Souvent on peut constater le claquage simplement avec les yeux : le muscle semble déformé, et si les fibres rompues étaient proches de la surface de la peau, cela fait comme un bleu. En touchant, cela réveille la douleur, et on sent comme un trou, comme s’il manquait un morceau du muscle.

Comment soigner un claquage ?
Dans le cas d’un claquage, il n’est pas question de continuer en forçant un peu : il faut s’arrêter immédiatement et de toute façon le sportif n’a souvent pas le choix. En attendant d’arriver chez le médecin, il faut mettre le muscle au repos, si possible en l’air, mettre de la glace dessus, et le comprimer par un bandage serré pendant à peu près un quart d’heure. Ensuite, il faut aller voir impérativement le médecin, lequel donnera des médicaments, avant de laisser la relève à un kinésithérapeute (tout en continuant de suivre l’évolution du claquage). Il faut au moins une semaine de repos total, avant de commencer la rééducation. Un claquage entraîne un arrêt du sport de un mois et demi à deux mois.

Comment prévenir un claquage ?
Comme tous les problèmes musculaires, le claquage peut être évité (ou au moins son risque fortement diminué) en suivant les principes de base de tout sportif qui se respecte : bon échauffement, étirements, boire (et manger) suffisamment.

L'ELONGATION

L’élongation est le résultat d’un effort trop important du muscle touché. Effort qui va au-delà des limites de contractilité, d’élasticité et d’extensibilité du muscle. Ce qui fait que le muscle en question est déchiré : une élongation est une petite déchirure.

Comment savoir s’il s’agit d’une élongation ?
La douleur qui caractérise l’élongation est une pointe précisément localisée. Elle est ressentie pendant l’effort, et disparaît au repos. Toutefois, il est possible de la retrouver en appuyant à l’endroit où elle se situait. La douleur est simplement endormie. De plus, le sportif, quand ses muscles se seront refroidis, pourra ressentir dans la zone du muscle concerné une douleur diffuse semblable à un engourdissement du membre.
Il est possible de continuer à s’entraîner malgré une élongation, mais le sportif devra se ménager, éviter les efforts. Bref, éviter de jouer. Aucun intérêt donc à s’entêter, d’autant que cela va allonger le délai de guérison.

Comment soigner une élongation ?
Arrêter l’entraînement. Mettre de la glace sur le muscle meurtri (une demi-heure matins et soirs pendant quelques jours).
Selon votre niveau de compétition, votre médecin et/ou kinésithérapeute vous prescrira différents traitements (électrothérapie, ionisation, mésothérapie, laser…) afin d’accélérer le reprise et d’éviter le risque de rechute.
Sinon, il suffit d’un peu de patience, une semaine de repos. En reprenant l’entraînement progressivement, en vous échauffant avec précaution, vous pourrez reprendre la compétition en moins de deux semaines.

Comment prévenir l’élongation ?
Tout simplement, en s’échauffant bien et suffisamment longtemps, sans oublier les étirements.

LA PUBALGIE

(maladie d’homme ; rarissime chez la femme)

Maladie du footballeur (il représente la majorité des cas), la pubalgie est caractérisée par une douleur au pubis (entrejambe), pouvant s’étendre jusqu’aux adducteurs. La douleur aux adducteurs est celle d’une tendinite, semblable à une tendinite au tendon d’Achille ou ailleurs ; la douleur au pubis est diffuse, peu précise, donne une impression de fragilité (comme une fêlure), et est faite d’élancements vifs et plus ou moins douloureux selon les moments.

L’apparition de la douleur est progressive. Au début, elle diminue quand l’athlète est chaud. Ensuite, elle devient constante. Enfin, elle devient véritablement handicapante.

Plus précisément, la pubalgie est une affection douloureuse du pubis et des muscles et tendons de la zone environnante. Elle est due à un surmenage sportif. Un déséquilibre musculaire crée une sorte de friction, un ensemble de micro-traumatismes responsable de la douleur.

Médicalement, cette affection regroupe trois syndromes différents :
1) Tendinite des adducteurs, ou tendinite d’insertion des adducteurs (les adducteurs dans leur zone d’insertion)

2) L’ostéo-arthropathie pubienne ; quand on a une jambe plus courte que l’autre ou à une anomalie de l’articulation de la hanche.

3) La pathologie pariétale abdominale ou pathologie inguino-pariéto-abdominale ; déficience (de naissance ou due à une mauvaise pratique) de muscles de la paroi abdominale, notamment dans la partie basse.

Cause :
La zone pubienne, et les tendons et muscles qui y sont associés, sont fortement soumis à diverses pressions. Un footballeur frappe, tacle, lutte avec les jambes en avant, court parfois de travers, prend des appuis exigeants… Il est donc particulièrement susceptible de souffrir de cette zone qu’il malmène allègrement. Il suffit pour cela d’un déséquilibre de la musculature ou de la posture. Et alors, la pression devient blessante.

Traitement :
Lorsque la douleur n’est pas encore trop importante, le sportif peut venir à bout de sa pubalgie assez vite. Deux choses à faire : arrêter l’entraînement, faire des exercices simples : s’accroupir et se relever, en maintenant le buste droit (très efficace), étirer les adducteurs. Un kinésithérapeute peut vous conseiller d’autres exercices, plus appropriés à votre situation, car chaque pubalgie est particulière.

Votre médecin vous administrera des anti-inflammatoires, des antalgiques et des décontracturants.
Il existe un traitement par ultra-sons ou ionisations. Lorsque tous ces traitements ont échoué, il reste la mésothérapie ou l’infiltration. Enfin, en dernier recours, l’opération chirurgicale, entraînant un arrêt de 2 à 6 mois.

La pubalgie est une pathologie au fort risque de résurgence. Alors que le sportif croit être complètement guéri, la douleur réapparaît, des semaines ou des mois après. Pour éviter cela, il faut compenser le déséquilibre en cause. Semelle orthopédique, musculation de la zone déficiente, natation, diminueront le risque de rechute.

 

LES POINTS DE COTES

Le point de coté apparaît en plein effort et est le plus souvent bénin. Encore faut-il faire la distinction avec les douleurs évocatrices d'une urgence médicale (appendicite, péritonite, infarctus du myocarde, etc…)

La localisation des points de côtés est variée. On distingue :
- les points claviculaires (droits ou gauches) ;
- les points sous les côtes (droits ou gauches) ;
- les points à l'estomac.

QUELLES EN SONT LES CAUSES ?

Le point de côté claviculaire.

L'explication serait d'origine circulatoire : le foie (à droite) ou la rate (à gauche), gorgés de sang, perturberaient la mécanique respiratoire du diaphragme. La douleur se projetterait alors en arrière de la clavicule.
D'autres sources évoquent une souffrance du muscle diaphragmatique, trop sollicité par les efforts respiratoires durant l'exercice.

Le point sous les côtes.

La douleur peut être expliquée par une surcharge sanguine au niveau du foie (à droite) ou de la rate (à gauche). Mais ici, elle ne se projette pas vers les clavicules.

Le point à l'estomac.
Les douleurs peuvent être d'origine intestinale, par dilatation de gaz au niveau du gros intestin. Elles sont ressenties à droite ou à gauche, au niveau des coudes que fait le gros intestin dans l'abdomen. Cette dilatation douloureuse est liée à une paralysie du tube digestif, par manque de sang (ischémie) lors de l'effort.
D'autres facteurs, liés à l'alimentation, peuvent également entrer en compte.

COMMENT EVITER LE POINT DE COTE ?
En cas de points claviculaires.
Comprimez votre foie avec la main et inclinez-vous à droite en soufflant. Faites la même chose, pour la rate, du côté gauche. Le "point de côté" doit alors disparaître. En l'absence d'amélioration, consultez votre médecin pour avis.

En cas de points sous les côtes.

Dans le cas des points de côtés par surcharge sanguine (foie ou rate) : arrêtez de courir ou ralentissez l'allure, faites quelques expirations profondes et la gêne devrait disparaître. Si elle persiste au repos, consultez un médecin en urgence, afin d'éliminer un possible infarctus du myocarde débutant

LES BONNES VITAMINES DE L'EFFORT

Lors de l'effort physique, le corps est un grand consommateur de vitamines. En effet, tous les nutriments sont transformés en énergie grâce à elles. Plusieurs vitamines du groupe B (B1, B2, PP, B5, B6, B9) participent à l'utilisation des sucres, des protéines et des lipides pour fournir l'énergie indispensable aux muscles. Ainsi, les besoins en plusieurs vitamines hydrosolubles (B1, B2, PP, B5, B6, C) sont proportionnels à la dépense énergétique. Par ailleurs, les vitamines antioxydantes (A, C, E) luttent contre la formation des radicaux libres liée à l'intense activité musculaire. Elles limitent également les phénomènes inflammatoires dus aux microtraumatismes comme les tendinites et les oedèmes. La vitamine C participe également spécifiquement à la lutte contre la fatigue et les infections et favorise l'absorption du fer.

En cas de pratique sportive occasionnelle (1 à 3h/semaine), les besoins en vitamines correspondent à ceux de la population française. Mais en cas de pratique intense, les besoins en vitamines B1, B2, PP et B6 peuvent être augmentés.

Les aliments les plus riches

Si l'alimentation du footballeur n'apporte pas les quantités suffisantes de vitamines, la performance physique risque d'être diminuée. Quant aux suppléments vitaminiques, ils ne seront utiles qu'en cas de déficience, car leur intérêt pour augmenter la performance n'a pas été prouvée. Les sources alimentaires de ces vitamines sont très variées : céréales, légumes secs et fruits secs pour la vitamine B1, produits laitiers et abats pour les vitamines B2 et B6, viandes, poissons, oeufs et produits laitiers pour la vitamine B12. Quant aux antioxydants : la vitamine E est caractéristique des huiles végétales, la vitamine C se concentre dans les fruits et légumes frais et la vitamine A est à la fois présente sous forme de rétinol dans le beurre et les margarines et sous forme de beta-carotène dans les légumes et fruits.

En pratique
Pour couvrir idéalement ses besoins, un sportif doit manger au-moins 2 à 3 fois des fruits et légumes dans la journée pour un apport de vitamine C suffisant, 20 g de beurre pour assurer les besoins en vitamine A, et 3 à 4 cuillères à soupe d'huiles végétales variées pour la vitamine E. Quant aux vitamines du groupe B, seule une alimentation variée peut toutes les apporter en quantités suffisantes. Parmi elles, ne pas oublier la vitamine B9, exclusivement présente dans les végétaux et la vitamine B12 présente uniquement dans les aliments d'origine animale. La consommation d'aliments enrichis peut contribuer à un meilleur équilibre nutritionnel du sportif. Par-contre, l'usage prolongé de suppléments vitaminiques est contre-indiqué (risque d'excès) : il doit être pratiqué ponctuellement, sur une durée limitée, et sous la surveillance d'un professionnel de santé.